En entendant parler de l’arrestation de Salah Abdeslam, qu’aviez-vous pensé ? Vous étiez-vous interrogé :
Comment est-il resté si longtemps caché dans un quartier si populaire ?
Quelles connivences avait-il dans le quartier ?
Pourquoi ne s’est-il pas fait sauter comme les autres ?
Quel intérêt, et pour qui, qu’il reste en vie ?
Comment les services de renseignements n’ont-ils pu rassembler tous les morceaux du puzzle avant ?
Que va-t-il se passer maintenant ?
Quelles conséquences cette arrestation va-t-elle avoir ?

Malheureusement hier matin, seulement cinq jours après son arrestation, est arrivé d’emblée la réponse à toutes ces questions. Un quartier entier se révélait sous la coupe d’une autorité religieuse qui fait la loi. Cette autorité religieuse prône la guerre contre l’Occident et notre civilisation. La théorie du « grand remplacement » est en route, qu’on le veuille ou non. Et l’esprit de vengeance, autrement dit la guerre. 31 morts et 270 blessés à ajouter à la liste des victimes.

Souvenez-vous de cette interview – ci-dessous – au moment des municipales Belges en 2012. Le parti Islam avait présenté des candidats dans trois communes : Anderlecht, Molenbeek (tient donc?) et Bruxelles ville. Lire l’article sur RTBF.be.

Soyons clair, Bruxelles, ou Paris c’est du pareil au même. Nos amis belges sont juste en avance sur le vote des étrangers aux élections municipales, vote qu’ils ont accordé en 2004.

Faisons pression sur les hommes politiques français, particulièrement les candidats à la primaire de la droite, pour qu’ils nous disent clairement la façon dont ils s’y prendront pour traiter ces sujets : liberté, égalité, éducation, radicalisation… Exprimons-leur notre volonté de voir restaurer l’autorité de l’Etat et l’impérieuse nécessité d’afficher une vision pour la France.

D’autant que ce n’est pas fini.

Bon courage à chacun.