Alliance Vita a osé faire une campagne, début janvier dans des gares parisiennes, avec des affiches promouvant la maternité, la paternité, la différence. « La société progressera à condition de respecter la maternité, … la paternité, … la différence. »

Madame Hidalgo s’est insurgée de cette audace criant aux anti pma primaires, anti ivg rétrogrades.

Depuis quand est-il interdit de parler de maternité, de paternité, de vie et de différence ? Toutes ces vérités, la vie, la paternité, la maternité, la différence, sont objectives et inhérentes à la nature humaine. Pourquoi donc les dictateurs de la pensée unique veulent-ils taire ces vérités et nous interdire de les dire ? Pour nous imposer une vision dite moderne et progressiste ? Pour vanter le progrès qui est faisable techniquement mais pas forcément souhaitable sur le plan éthique ? Pour faire avancer des libertés transgressives qui fondent un nouvel ordre et font une rupture avec l’ancien monde ?

Les sénateurs ont discuté du projet de loi de bioéthique en 2 jours. Contre toute attente et contre les avis précédents (ministre, députés et parents), ils ont pris des dispositions nouvelles comme étendre le diagnostic préimplantatoire aux anomalies chromosomiques, allonger les délais d’expérimentation sur les embryons, supprimer la clause de conscience attachée à l’IMG. Le 21 janvier débutera le débat au Sénat. La manifestation du dimanche 19 janvier prend donc tout son sens pour aider et soutenir les Sénateurs dans un vote de bon sens pour cette loi qui n’a plus grand chose ni de bio ni d’éthique.

« L’absence d’un père est une blessure que l’on peut subir, mais il est monstrueux de l’infliger volontairement. Monseigneur Aupetit »

Ne désespérons pas de l’homme et venons manifester notre attachement à la vie et au respect de chaque être humain.

A dimanche !

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