Cet été me sont revenus les sujets que j’aurais souhaité aborder au premier semestre. La liste était fournie, et réflexion faite, pour répondre à vos aimables sollicitations, voici la synthèse de 3 sujets.

Le premier sujet est celui de la question du sexe réel de la boxeuse Algérienne qui a été sacrée championne olympique après une minute de combat contre l’Italienne Angela Carini, il y a un an. Car le Comité International Olympique savait et tout avait été passé sous silence. La championne féminine a depuis arrêté sa carrière. Je prends acte. Tout de même… On peut s’interroger sur ce que font, dans les cellules de chacun, les chromosomes XX et XY qui restent ad vitam eternam quels que soient les manipulations et changements voulus par l’humain.

Le second, en réalité, je n’ai pas du tout envie d’en parler. Il s’agit du sujet essentiel qu’est la Vie. Il me semble que tout a déjà été dit à ce sujet. Elle me semble si folle cette « vox populi » qui, en même temps, veut nous faire croire qu’on veut pouvoir avoir le droit de se suicider avec le soutien du corps médical et de la société toute entière, quand par ailleurs, on cherche à vous sauver malgré vous quand vous vous êtes suicidé sans prévenir. Ou que l’avortement, encore lui ! est possible la veille de la naissance et que, en même temps, un enfant né à 21 semaines de 285 grammes et 24 centimètres a été sauvé et a fêté ses 1 an en juillet dernier. Le « prendre soin d’autrui » est dans l’ADN de l’humain et il est particulièrement bien décliné dans le serment d’Hippocrate.

Le troisième, qui a peu en commun avec les deux précédents, concerne la disparition espérée des ZFE, ces Zones à Forte Exclusion, qui dans un sursaut de bon sens ont été éliminées à l’assemblée nationale dans un amendement d’une loi fourre-tout le 17 juin dernier. Le mensonge européen sur l’avenir « tout-électrique » est en train d’être révélé petit à petit. Les constructeurs comme BMW, Toyota, Mercedes s’insurgent aujourd’hui contre ce diktat. L’ancien président de Peugeot, Carlo Tavares, avait déjà dénoncé en 2022 cette vision dogmatique du passage contraint et forcé à la motorisation électrique par la politique européenne. Pourquoi donc l’Europe a-t-elle fait le lit de la Chine ?

Cette idée de mensonge caché dans des politiques présentées comme vertueuses alors qu’elles sont juste dogmatiques rappelle l’importance des mots, et la bonne compréhension de leurs sens car les mots ont un sens, et ce n’est pas celui du vent.

Certaines traductions de mots (et pas de maux …) anglais empêchent de comprendre avec sérénité et recul les sujets qu’ils évoquent. En voici deux.

En premier le GIEC. Cet organisme est un organisme politique, émanant des nations Unies. Il est chargé de l’évaluation « objective » de la recherche scientifique sur le changement climatique. En Français cet acronyme veut dire : Groupe Intergouvernemental d’Experts sur l’évolution du Climat. En Anglais, langue dans lequel cet organisme a été pensé, c’est un peu différent, il s’agit du IPCC qui veut dire Intergovernmental Panel on Climate Change. Le mot Experts n’existe qu’en français ! Les « experts » du GIEC sont des « scientifiques qui s’engagent bénévolement comme experts« . Chacun sait que le débat et la confrontation sont indispensables pour faire avancer et progresser les disciplines, même et surtout si les experts / scientifiques ne sont pas unanimes. Et certains protagonistes du GIEC en sont sortis réfutant la doxa officielle.

Le second mot est l’IA. L’IA, en français, veut dire Intelligence Artificielle, et cela fait peur, très peur même à certains.
En Anglais, cela veut simplement dire Artificial Intelligence, et l’intelligence en anglais tient beaucoup plus du renseignement, que de la version comprise en français par le mot « intelligence ». Connaissez-vous la CIA ? Central Intelligence Agency. Je crois que c’est dans cet esprit qu’il faut comprendre l’IA, comme une source de renseignements, une capacité à aller chercher de l’information, à la stocker, la comparer, l’analyser, la synthétiser plus rapidement que l’humain, car avec des capacités de mémoire sans commune mesure avec celle de notre cerveau. Mais ça n’en fait pas un coeur palpitant capable de sentir, de re-sentir, et d’aimer.

Voilà ! C’était pour fêter avec vous la rentrée de septembre. Bonne rentrée !